Dernier né de l'ANAJ-IHEDN, le Comité "Afrique" a le plaisir de vous inviter à sa première conférence le Mardi 18 octobre 2011, 19h30 à 21h00, École militaire, Amphithéâtre Desvallières.
Dans un message diffusé à l'occasion du 10ème anniversaire des attentats du 11 Septembre, Ayman al-Zawahiri a annoncé soutenir le Printemps arabe, allant jusqu’à le qualifier de « le Printemps de la dignité et de la libération ». Comment expliquer une telle évolution alors que, dans un premier temps, Al-Qaïda semblait prendre ses distances par rapport aux révolutions arabes qui ont entrainé la chute des régimes qu’elle combattait depuis des décennies ?
Le professeur Jean-Pierre FILIU nous expliquera l'évolution d'Al-Qaïda depuis la mort de son leader Oussama Ben Laden, ainsi que le rôle ou non d'AQMI dans les pays arabes du Maghreb.
Télécharger le flyer ICI
Inscription obligatoire à l'adresse : http://tinyurl.com/anaj-afrique
Informations : afrique@anaj-ihedn.org
lundi 3 octobre 2011
vendredi 30 septembre 2011
Combien coûte la lutte contre la piraterie ?
Bien que la piraterie ait fortement augmentée dans le Golfe d'Aden elle reste peu couteuse par rapport au chiffre d’affaire de l’industrie du transport maritime et le coût de l’opération militaire de lutte contre ce phénomène excède de loin le total des rançons versées aux pirates .
Le le surcoût par la communauté internationale (avec les navires de défense), serait estimé entre 10 et 16 milliards de dollars. La piraterie représenterait 1/1000 du coût total du transport maritime.
Source : Anna Bowden, The Economic costs of maritime piracy
Le le surcoût par la communauté internationale (avec les navires de défense), serait estimé entre 10 et 16 milliards de dollars. La piraterie représenterait 1/1000 du coût total du transport maritime.
Rançons | 176 millions $ |
Primes d'assurance | Entre 460 millions $ et 3,2 milliards $ |
Routage des navires | 2,4 à 3 milliards $ |
Equipements de sécurité | 363 millions $ à 2,5 milliards $ |
Forces navales | 2 milliards $ |
Poursuites judiciaires | 31 millions $ |
Opérations dissuasives | 19,5 millions $ |
Coût pour l'économie régionale | 1,25 milliards $ |
dont l'Egypte | 642 millions $ |
dont le Kenya | 414 millions $ |
dont les Seychelles | 6 millions $ |
TOTAL | 7 à 12 milliards $ par an |
Libellés :
Atalante,
Golfe d'Aden,
Piraterie,
Somalie
dimanche 25 septembre 2011
Le rôle des Nations-Unies dans la gestion de la transition en Côte d'Ivoire
L'IFRI organise le 27 septembre de 17:00 à 19:00 une conférence autour de Choi Young-Jin, ancien représentant spécial et chef de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI), sur le rôle des Nations-Unies dans la gestion de la transition en Côte d'Ivoire
Résumé : "Autrefois pays modèle en Afrique de l'Ouest, la Côte d'Ivoire a connu ces dernières années une crise politico-militaire sans précédent qui a occasionné d'innombrables bouleversements. L'ONUCI, dont le déploiement en Côte d'Ivoire a débuté le 4 avril 2004, s'est vue confier par le Conseil de sécurité la mission de contribuer à la pacification du pays. L'organisation des élections devait être l'aboutissement de ce processus mais n'a pu empêcher une résurgence de la crise avant l'arrestation de Laurent Gbagbo et l'investiture de Alassane Ouattara le 21 mai 2011."
Inscription : ICI
Résumé : "Autrefois pays modèle en Afrique de l'Ouest, la Côte d'Ivoire a connu ces dernières années une crise politico-militaire sans précédent qui a occasionné d'innombrables bouleversements. L'ONUCI, dont le déploiement en Côte d'Ivoire a débuté le 4 avril 2004, s'est vue confier par le Conseil de sécurité la mission de contribuer à la pacification du pays. L'organisation des élections devait être l'aboutissement de ce processus mais n'a pu empêcher une résurgence de la crise avant l'arrestation de Laurent Gbagbo et l'investiture de Alassane Ouattara le 21 mai 2011."
Inscription : ICI
samedi 24 septembre 2011
Bases secrètes en Somalie : l'interview du journaliste
Le journaliste Jeremy Scahill lance le débat sur les attaques menées par les Etats-Unis en Somalie. Ci-dessous son interview dans le Morning Joe sur MSNBC.
Lire :
- L'article "The CIA's secret sites in Somalia" dans le journal The Nation par Jeremy Scahill ICI
- "U.S. assembling secret drone bases in Africa, Arabian Peninsula, officials say" du Washington Post ICI
Lire :
- L'article "The CIA's secret sites in Somalia" dans le journal The Nation par Jeremy Scahill ICI
- "U.S. assembling secret drone bases in Africa, Arabian Peninsula, officials say" du Washington Post ICI
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jeudi 22 septembre 2011
Combien gagne un pirate ?
A la suite du billet "Piraterie : un impact économique limité ?", interrogeons-nous, combien rapporte la piraterie, aux pirates et aux investisseurs ?
Coûts et dépenses annuels (pour 1 financier, 4 bateaux et 12 pirates) en 2008.
REVENUS
Investissement par le financier
Skiff et moteur hors-bord 14 000$
Armes et munitions 2 000$
Grappins et échelles 1 200$
Aide à la navigation, GPS 4 000$
Paiements de rançons 600 000$
Total revenus 621 200$
DEPENSES
Coûts opérationnels
Nourriture, fournitures... 72 800$
Maintenance des équipements 31 200$
Soins aux victimes 15 750 $
Pots de vin 180 000$
Total des dépenses 299 750$
BENEFICES
Total des bénéfices (brut) 321 450$
Total des bénéfices (sans les investissements) 300 250$
Part du financier 120 250$
Parts des pirates 180 000$
Part par pirate 15 000$
Sources : Calculs réalisés par Raymond Gilpin, sur la base de témoignages de pirates capturés, pour trois détournements réussis, sur neuf tentatives dans l’année, et deux paiements de rançons.
Les frais de nourriture et de fournitures sont calculés pour 208 jours de travail sur l’année.
La rançon serait, en général, divisée ainsi : 20% pour le(s) financier(s), 20% pour les coûts d’opération, 30% en pots de vin, 30% pour les pirates.
Coûts et dépenses annuels (pour 1 financier, 4 bateaux et 12 pirates) en 2008.
REVENUS
Investissement par le financier
Skiff et moteur hors-bord 14 000$
Armes et munitions 2 000$
Grappins et échelles 1 200$
Aide à la navigation, GPS 4 000$
Paiements de rançons 600 000$
Total revenus 621 200$
DEPENSES
Coûts opérationnels
Nourriture, fournitures... 72 800$
Maintenance des équipements 31 200$
Soins aux victimes 15 750 $
Pots de vin 180 000$
Total des dépenses 299 750$
BENEFICES
Total des bénéfices (brut) 321 450$
Total des bénéfices (sans les investissements) 300 250$
Part du financier 120 250$
Parts des pirates 180 000$
Part par pirate 15 000$
Sources : Calculs réalisés par Raymond Gilpin, sur la base de témoignages de pirates capturés, pour trois détournements réussis, sur neuf tentatives dans l’année, et deux paiements de rançons.
Les frais de nourriture et de fournitures sont calculés pour 208 jours de travail sur l’année.
La rançon serait, en général, divisée ainsi : 20% pour le(s) financier(s), 20% pour les coûts d’opération, 30% en pots de vin, 30% pour les pirates.
mardi 20 septembre 2011
dimanche 18 septembre 2011
Somalie : Gate of hope
Une belle vidéo, résumant le drame somalien à travers l'aide médical apportée par l'AMISOM.
jeudi 15 septembre 2011
Enfin la chute des Shabaab en Somalie ?
Quand les médias occidentaux, sensibilisaient encore l’opinion publique, au drame humanitaire qui touche une partie de la Corne de l’Afrique, un autre sujet fut également médiatisé (très relativement il est vrai) : le retrait des Shabaab de Muqdisho. Cet évènement inaugure-t-il un tournant stratégique dans la lutte contre le jihadisme en Somalie ?
Le 6 août 2011, le président somalien annonçait le retrait des Shabaab de Muqdisho. Pour le porte-parole du mouvement radical, Sheikh Ali Mohamud Rage, ce retrait est tactique et temporaire, les radicaux conserveront leurs positions dans le reste du Sud de la Somalie (le Somaliland étant indépendantiste et le Puntland autonomiste). Néanmoins les difficultés du mouvement sont-elles temporaires ? Peuvent-elles expliquer ce retrait ? Plusieurs facteurs interviennent :
1) L’offensive des forces de l'Union africaine (Amisom) et des troupes gouvernementales, contre les Shabaab menée depuis plusieurs semaines sur le marché stratégique de Bakara, bastion des insurgés, et dans le nord-est de la capitale, a mis à mal les efforts des Shabaab. Acculé, le mouvement extrémiste aurait perdu une centaine d’hommes. Par ailleurs, il souffrait de difficultés d’approvisionnement en munitions et de difficultés financières, entre autres parce que les transferts de fonds venus des Etats-Unis se tarissent.
2) Il existait de nombreuses divisions internes. Ces divisions furent exacerbées par la gestion de la sécheresse et l’accès aux zones, sous leur contrôle, aux humanitaires. La manne financière liée à la mobilisation internationale est aussi devenu un véritable enjeu. A titre illustratif, les extrémistes réclamaient 10 000$ de taxes pour l’accès à une zone qu’ils contrôlaient, auxquels il s’agit d’ajouter 10 000$ de frais d’enregistrement, plus 6 000$ tous les 6 mois et 20% de taxes sur les marchandises importées sur leurs zones (y compris la nourriture). Même les populations sont taxées et certains chefs guerre se taillent de véritables principautés. Cet été, les Shabaab ont réclamé 30$ par hectare de terres irriguées aux agriculteurs vivant le long du Juba dans la région du Lower Juba (en rouge sur la carte). (ICI, ICI, et ICI)
3) Des divisions aussi, quant aux objectifs du mouvement. Lorsque les Shabaab ont traité le président du Gouvernement Fédéral de Transition (GFT) de traitre et d’apostat, Ben Laden s’en ait fait l’écho, comparant Cheikh Sharif Cheikh Ahmed au président Afghan, Hamid Karzai, et appelant au “jihad” contre son régime. Puis, le mouvement a prêté allégeance à al-Qāʿida (septembre 2009), mais les liens semblent plus symboliques qu’effectifs. Cette déclaration s’inscrit dans une volonté des fondamentalistes somaliens de s’aligner sur l’agenda global de la nébuleuse terroriste et d’être reconnus comme l’une de ses « filiales », tout en restant indépendants. Elle implique l’arrivée de combattants extérieurs et l’apparition d’un discours jihadiste menaçant les pays voisins. L’État islamique voulu en Somalie par certains groupes militants dépasse les frontières actuelles de l’État et englobe des régions peuplées de Somalis, en Éthiopie et au Kenya notamment (Grande Somalie), d’autres souhaitent lutter comme le GFT perçu comme illégitime. Des divisions claniques apparaissent aussi, paradoxalement il reste à espérer que ces divisions claniques, qui font aussi obstacle à l’émergence d’un pouvoir central en Somalie, et que dénonce officiellement le discours trans-clanique des intégristes, seront aussi celles susceptibles de les faire tomber.
4) Les difficultés rencontrées ces derniers mois furent également exacerbées par des défaillances au sein de l’appareil de commandement. Ainsi, la mort en juin de Fazul Abdullah Mohamed, le cerveau des attentats du Kenya et de Tanzanie en 1998, les blessures de Bilal al Berjawi, le cerveau des attentats de Kampala en juillet 2010, celles de l’émir Ibrahim Afghani, la mort de cinq commandant fin juillet, ont affaibli le mouvement. Des changements ont rapidement eu lieu dans le leadership, ainsi Ibrahim Haji Jama Mee'aad , un Somalo-américain, est devenu le chef des Shabaab, à la place d’Ahmed Godane. Ce dernier serait devenu responsable des affaires étrangères et des relations avec al-Qāʿida à la place de Fazul Abdullah Mohammed.
Ainsi, la guerre se poursuit (ICI et ICI) et les Shabaab cherchent déjà de nouveaux soutiens à l’extérieur et misent sur la diaspora. Ils gardent toujours le contrôle d’une large partie de la Somalie du Sud où sévit la famine. Par ailleurs, les armes continuent d’arriver par le Yémen. Si l’AMISOM et les troupes somaliennes ont repris le contrôle des zones délaissées par les Shabaab à Muqdisho, des craintes apparaissent quant à une possible résurgence des chefs de guerre sur ces zones (ICI). Ces chefs auraient d’ailleurs toujours à leur disposition des milices. Celles-ci furent même utilisées dans la bataille de Mogadiscio ces dernières semaines.
Enfin, et surtout, les ingérences étrangères se poursuivent.
Et tant que le conflit qui oppose l’Ethiopie à l’Erythrée ne sera pas réglé, toute résolution de la crise somalienne sera compromise. En effet, ce conflit persistant est au cœur de la déstabilisation de la Corne de l’Afrique. Après la guerre de 1998-2000, un accord de paix est signé le 18 juin 2000suite à la médiation de la présidence algérienne de l'Organisation de l’Union Africaine. Elle prévoit la mise en place d'une commission frontalière chargée de délimiter et démarquer la frontière. Les deux parties acceptent, par avance, la décision de la commission comme définitive et contraignante et le 13 avril 2002, la commission arbitrale attribue Badme à l’Erythrée.Dès lors l’Éthiopie, qui a militairement gagné la guerre, refuse la décision et laisse ses troupes dans cette région, qu’elle occupe depuis le XIXème siècle. Depuis, le processus de paix est en panne et l’Erythrée reproche à la communauté internationale de n’avoir rien fait à l’encontre de l’Éthiopie pour la forcer à appliquer la décision de la cour d’arbitrage. Ce positionnement a entrainé au fil des ans la radicalisation du régime érythréen. Il sert aussi l’Ethiopie qui en période de crise interne utilise la rhétorique nationaliste pour renforcer sa légitimité interne.
Il est fondamental d’analyser ce conflit pour comprendre la politique étrangère des acteurs étatiques régionaux. Les protagonistes de ce conflit ont, par la suite, interféré dans le conflit somalien. Et ils contribuent toujours à l’attiser.
mardi 13 septembre 2011
VIIe Congrès international des Victimes du terrorisme
L'Association Nationale des Auditeurs Jeunes de l'IHEDN, partenaire de l'Association française des Victimes du Terrorisme, organise le "VIIe Congrès international des Victimes du terrorisme", du jeudi 15 au samedi 17 septembre 2011, à l"École militaire (Amphithéâtre Foch).
Programme :
Jeudi 15 septembre 2011
14h00 Cérémonie d’ouverture
15h00 Parole de victimes
17h00 Avis d’experts : L’efficacité de la collaboration entre les États dans la
lutte contre les organisations terroristes. L’exemple franco-espagnol
Hôtel de Ville de Paris, Place de l’Hôtel de Ville, 75004 Paris
20h00 Cocktail dînatoire
Vendredi 16 septembre 2011
09h30 Table ronde : Le cas particulier de la prise d’otages
11h30 Table ronde : Impact d’un attentat terroriste sur l’environnement
familial des victimes
15h00 Avis d’experts : Évolution de la menace terroriste.
Recrutement de la jeunesse par les organisations terroristes
16h30 Table ronde : Victimes du terrorisme et société :
rôles des États, des employeurs et de la société civile
Théâtre du Châtelet, Place du Châtelet, 75001 Paris
20h00 Genèse de la Fédération Internationale des Victimes du Terrorisme
20h30 Concert de musique classique
Samedi 17 septembre 2011
09h00 Présentation du projet «I AM YOU »
09h30 Parole de victimes
11h30 Projection du documentaire «Killing in the name »
Mur pour la Paix, Champ de Mars, 75007 Paris
13h00 Cérémonie publique solennelle
Inscription obligatoire à l'adresse : contact@afvt.org
(Nom, Prénom, Pays, Mail et Numéro de téléphone)
Plus d'informations sur www.afvt.org
Programme :
Jeudi 15 septembre 2011
14h00 Cérémonie d’ouverture
15h00 Parole de victimes
17h00 Avis d’experts : L’efficacité de la collaboration entre les États dans la
lutte contre les organisations terroristes. L’exemple franco-espagnol
Hôtel de Ville de Paris, Place de l’Hôtel de Ville, 75004 Paris
20h00 Cocktail dînatoire
Vendredi 16 septembre 2011
09h30 Table ronde : Le cas particulier de la prise d’otages
11h30 Table ronde : Impact d’un attentat terroriste sur l’environnement
familial des victimes
15h00 Avis d’experts : Évolution de la menace terroriste.
Recrutement de la jeunesse par les organisations terroristes
16h30 Table ronde : Victimes du terrorisme et société :
rôles des États, des employeurs et de la société civile
Théâtre du Châtelet, Place du Châtelet, 75001 Paris
20h00 Genèse de la Fédération Internationale des Victimes du Terrorisme
20h30 Concert de musique classique
Samedi 17 septembre 2011
09h00 Présentation du projet «I AM YOU »
09h30 Parole de victimes
11h30 Projection du documentaire «Killing in the name »
Mur pour la Paix, Champ de Mars, 75007 Paris
13h00 Cérémonie publique solennelle
Inscription obligatoire à l'adresse : contact@afvt.org
(Nom, Prénom, Pays, Mail et Numéro de téléphone)
Plus d'informations sur www.afvt.org
dimanche 11 septembre 2011
Un comité Afrique à l'ANAJ-IHEDN
L'ANAJ-IHEDN vient de créer un comité Afrique !
La réunion de lancement de ce nouveau comité aura lieu le 29 septembre à 18H30 (salle de comité 1 à l'Ecole militaire) pour échanger sur les initiatives à porter au sein de ce comité. Si vous souhaitez rejoindre cette nouvelle aventure ou si vous connaissez des personnes intéressées mais non membre de l'association, un système de parrainage est possible pour rejoindre l'ANAJ, donc n'attendez plus !
POURQUOI LE COMITE AFRIQUE ?
L’Afrique, longtemps considérée comme un continent en marge, est aujourd’hui animée par des dynamiques qui en font un espace plus que jamais intégré aux grandes questions stratégiques internationales.
Avec une croissance exceptionnelle depuis plusieurs années, certains parlent d’une « embellie historique », d’autres affirment que « les perspectives sont plus favorables que jamais ». Attirés par les perspectives économiques les puissances mondiales convoitent son potentiel encore largement inexploité, ses terres, ses richesses naturelles… L’Afrique est aussi devenue un terrain d’affrontement dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
REJOIGNEZ CE COMITE DES LA RENTREE
Conscients des multiples enjeux liés au développement et à la stabilité de ce continent aux portes de l’Europe le comité vous propose d’engager une réflexion sur l’ensemble de ces questions au sein du comité Afrique.
Le 29 septembre le comité discutera d’un projet de conférences à la rentrée sur le terrorisme en Afrique et de l’organisation des conférences/débats avec des personnalités qui font l’Afrique d’aujourd’hui et de demain. Pour participer à cette réunion, inscription obligatoire (jusqu'au 26 septembre pour l'accès au site de l'Ecole militaire) à : afrique@anaj-ihedn.org
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