Plus de dix après le début de « la guerre contre le terrorisme », la
menace incarnée par Al Qaïda a considérablement évolué. Point de
situation par Yves Trottignon ancien analyste contre-terrorisme à la DGSE, analyste senior au sein de Risk&Co, publié par le Centre de Doctrine d'Emploi des Forces.
Ce qu'il faut retenir de la note :
1- La lutte contre le coeur d’Al Qaïda n’a pas eu d’effet durable sur l’intensité de la menace terroriste.
2- Si l’organisation centrale est affaiblie, elle reste une force de proposition relayée par des mouvements régionaux.
2- Si l’organisation centrale est affaiblie, elle reste une force de proposition relayée par des mouvements régionaux.
3- L’idéologie jihadiste parasite les revendications locales et les détourne à son profit.
4- Les groupes jihadistes agissent sans coordination étroite mais selon des logiques politiques et opérationnelles voisines contre des cibles communes.
5- La menace est portée par des groupes structurés comme par des individus isolés agissant au nom de la cause.
4- Les groupes jihadistes agissent sans coordination étroite mais selon des logiques politiques et opérationnelles voisines contre des cibles communes.
5- La menace est portée par des groupes structurés comme par des individus isolés agissant au nom de la cause.
La note est à téléchargée ICI
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire