Deux membres d'AQMI auraient été capturé le 12 octobre et emprisonné à N'Djamena (Tchad). L'arrestation a été effectué par des membres de l'ex-rebellion touboue du Mouvement pour la démocratie et la justice au Tchad (MDTJ créé en 1998). Il s'agirait de 2 Algériens qui rendaient au Soudan pour «une mission» dont ils auraient été chargés par Abou Zeid, leur chef (ABou Zeid est accusé d'être le commanditaire de l'assassinat de Michel Germaneau, il a détenu Pierre Camatte et détiendrait les 5 Français d'Areva et VInci). Preuve d'une certaine coopération entre cet ex-rebellion et le pouvoir central depuis la signature de l'accord de paix du 2 avril 2010 sous la médiation de Kadhafi.
En 2004, le groupe avait déjà arrêté des membres du GSPC pour les remettre aux autorités algeriennes via la libye.
Les Etats de la région organisent la lutte contre AQMI
Pendant ce temps de nombreuses unités de l’armée mauritanienne, dont des GSI (groupements spéciaux de lutte antiterroristes) se seraient déployées dans le désert du nord malien. En outre, l’armée de l’air mauritanienne a repositionné, à Tombouctou, l’un de ces appareils.
La Mauritanie et le Mali font partie d’un commandement mixte antiterroriste, qui regroupe aussi l’Algérie et le Niger.
Du GIA, au FIS, au GSPC....à AQMI :
Dans C dans l'air les intervenants rappellent le lien originel entre AQMI et l'Algérie.
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Il y a 7 heures